2250 ans d’Ampère : Ampère en continu … Il y aura des étincelles ! En préparation du 250e anniversaire de la naissance d’André-Marie Ampère en 2025, la Bibliothèque universitaire et ses partenaires célèbrent Ampère et ses découvertes. Pour être au jus, venez redécouvrir l’histoire de l’électricité, les découvertes d’aujourd’hui et les nouveaux défis pour la science de demain.La BU vous invite à plonger dans la vie de ce scientifique de génie qui a révolutionné l’électricité et dont les intuitions ont inspiré nombre de ses successeurs.L’exposition proposera différents coups de projecteurs sur l’homme et ses découvertes.Les recherches en cours dans des laboratoires lyonnais feront écho aux instruments et documents d‘époque pour éclairer l’élaboration de l’électricité.En savoir plus :BU Lyon 1
LLeçons d’electricité appliquée, professées en 1899-1900 | Livre numérisé À l’occasion des 250 ans de la naissance d’André-Marie Ampère, la bibliothèque universitaire de l’Université Claude Bernard Lyon 1 propose de feuilleter en ligne le cours manuscrit de Pierre Weiss sur l’électricité.Physicien originaire de Mulhouse, Pierre Ernest Weiss (1865-1940) est un spécialiste du magnétisme : ses travaux sont à l’origine de l’invention d’électroaimants très puissants. Après avoir été maître de conférences à la Faculté des sciences de Rennes, il accepte en 1899 le poste que lui propose l’Université de Lyon. Ses cours, retranscrits par son préparateur Marius Perrigot, sont imprimés à Lyon.La BU Lyon 1 en conserve un exemplaire qui a été numérisé avec le soutien de la BNF.Weiss quitte Lyon en 1902 pour devenir professeur à l’École polytechnique fédérale de Zurich. En1919, il revient en France, à l’Université de Strasbourg, où il crée un Institut consacré à la recherche sur le magnétisme, sur le modèle de celui qu’il dirigeait à Zurich. En 1939, il ne suit pas le repli de l’Université de Strasbourg à Clermont-Ferrand et revient à Lyon où il décède en 1940.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : BU LYON 1
CCentenaire de la société de Pharmacie de Lyon 1806-1906 | Livre numérisé Société de pharmacie de LyonLa bibliothèque universitaire de l’Université Claude Bernard Lyon 1 propose de feuilleter en ligne le livre du Centenaire de la Société de Pharmacie de Lyon, dont le siège se trouvait au Palais Saint-Pierre, à Lyon.La célébration de l’évènement eut lieu le 1er juillet 1905 à la Faculté de médecine et de pharmacie, installée à l’époque quai Claude Bernard.Le document conservé à la BU est l’exemplaire n°2 offert par la Société de Pharmacie de Lyon à Paul Joubin, Recteur de l’Université de Lyon.L’ouvrage commémoratif rappelle l’histoire de la pharmacie à Lyon, rend compte des différentes prises de paroles, des festivités et des cérémonies organisées pour l’occasion.Lors de cet évènement fut inauguré un buste à la mémoire de Ferdinand Crolas (1841-1903) professeur de pharmacologie, décédé quelques années auparavant.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : BU LYON 1
CCarte blanche à Valérie Martinez Un laboratoire, une équipe de chercheurs et une Bibliothèque universitaire (BU). C’est le principe de la carte blanche. Durant la pause de midi, un laboratoire de l’Université Claude Bernard Lyon 1 se déplace à la BU pour parler de ses activités, de ses projets et montrer les coulisses de la recherche.La Bibliothèque Universitaire de Claude Bernard Lyon 1, donne carte blanche à Valérie Martinez chercheure à l’Institut Lumière Matière.Valérie Martinez est membre de la collaboration internationale Virgo, le détecteur des ondes gravitationnelles situé à Pise (Italie). L’objectif de cet instrument est de détecter les ondes gravitationnelles générées notamment lors de la fusion de deux objets très massifs (trous noirs par exemple mais aussi étoiles à neutrons…). Elle présentera ses travaux de recherche sur les miroirs du détecteur et détaillera la composition de ceux-ci ainsi que les études qui sont menées afin d’optimiser leurs performances.>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :BU Lyon 1
AAlexandre Lacassagne et le tatouage Affiche exposition : « Alexandre Lacassagne et le tatouage » | ©DRAlors que les spécialistes les pensaient disparus, les carnets de tatouages d’Alexandre Lacassagne, fondateur de l’anthropologie criminelle, étaient précieusement préservés dans les locaux de la Faculté de médecine Lyon Est.L’exposition propose de suivre les traces du Professeur Lacassagne (1843-1924) et sa passion pour le tatouage.Découvrez la richesse de ces « biographies encrées » décalquées sur la peau des prisonniers : cœurs percés, zouaves, ancres marines, danseuses… et parcourez l’histoire du tatouage d’hier à aujourd’hui.La bibliothèque universitaire Lyon 1 a le plaisir de vous accueillir à l’exposition : « Alexandre Lacassagne et le tatouage ».>> Les journées spéciales :Mardi 2 avril à 18h30 (Inauguration) | Amphithéâtre Lacassagne, Faculté de Médecine Lyon Est et en ligne sur YouTube.©DRDémonstration de tatouage réalisée et commentée, suivie d’une visite de l’exposition.Intervenante : Lucile Jorland alias MacBernik, tatoueuse lyonnaise Mardi 9 avril, de 12h15 à 13h45 |Médiathèque Paul Zech, Faculté de Médecine Lyon Est et en ligne sur YouTube©DRDébats du Campus : Le tatouage post-opératoire : comment aimer son corps après la maladie ?Après un accident ou une lourde maladie, la peau conserve les marques de l’épreuve traversée. Le tatouage est utilisé comme un moyen de se réapproprier un corps altéré, en reprenant le contrôle sur son image. Dans cette optique, quelles spécificités comporte le tatouage réalisé sur des cicatrices ou des brûlures ? Comment les malades abordent-ils cet outil thérapeutique d’un nouveau genre ?Intervenants :> Nathalie Kaïd, plasticienne et photographe, directrice générale de l’association Sœurs d’Encre> Philippe Liotard, sociologue et maître de conférences à l’Université Claude Bernard Lyon 1> Aurélie Matias Ferreira alias Vulpera, tatoueuse à l’Atelier Tattoo Shop de Lyon et membre de l’association Sœurs d’Encre.Modératrice : Muriel Salle, historienne et maîtresse de conférence à l’Université Claude Bernard Lyon 1.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :BU Lyon1
LLa botanique de Pitton de Tournefort ©Céline Chagnard©Céline ChagnardLa bibliothèque universitaire Lyon1 conserve dans ses collections, Institutiones rei herbariæ de Joseph Pitton de Tournefort. Il s’agit d’une troisième édition imprimée à Lyon en 1719 à l’initiative d’Antoine de Jussieu (1686-1758).Né en 1656 à Aix en Provence, Joseph Pitton de Tournefort est un des plus éminents botanistes du XVIIème siècle. Destiné par son père à une carrière ecclésiastique, il effectue ses études chez les Jésuites, mais à la mort de ce dernier, il décide de se consacrer à sa véritable passion, la botanique. En 1678, il parcourt la Savoie et le Dauphiné en compagnie de Charles Plumier et débute son herbier. L’année suivante, il effectue des études de médecine à Montpellier et poursuit la constitution et l’enrichissement de sa collection en se rendant dans les Pyrénées orientales et en Espagne. Très vite sa renommée est telle que Guy Falgon (1638-1718), médecin de Louis XIV, lui demande de venir à Paris et lui confie en 1683, la chaire de botanique au Jardin des Plantes. Ses cours et ses démonstrations ont beaucoup de succès. Mais grand voyageur, il poursuit ses collectes au cours de différents déplacements dans le sud de la France, en Espagne, au Portugal, aux Pays Bas et en Angleterre. En 1694, il publie son premier ouvrage Éléments de botanique ou méthode pour connaître les plantes en trois volumes. Dans ce livre illustré de 451 planches dessinées par Claude Aubriet (1665-1742), il présente son système de classification des plantes basé sur deux critères : la fleur et le fruit. L’ouvrage a beaucoup de succès et afin qu’il soit lu dans toute l’Europe Tournefort le traduit lui-même en latin sous le titre Institutiones rei herbariae. En 1696, il reçoit le bonnet de docteur de la faculté de médecine de Paris et en 1700, sur ordre du Roi Louis XIV, il part au Levant pour une grande expédition. De ce long périple qui dure deux ans, il rapporte 1356 nouvelles plantes et 25 genres nouveaux. Cette riche moisson lui permet de rédiger un supplément à ses Institutiones, ce complément illustré de 13 nouvelles planches sera ajouté à l’édition posthume de 1717. C’est à seulement 52 ans, qu’il meurt fauché par une charrette en revenant du Jardin du Roi en décembre 1708.La classification de TournefortTournefort définit un nouveau système pour classer toutes les plantes à partir de l’examen de la forme des fleurs et de la nature du fruit. Le type de fleur lui permet de déterminer la classe, il en obtient 22. Et à partir de la nature du fruit il définit le genre, élément de base de son système qui en comporte 700. Il classe ainsi plus de 8000 espèces. La simplicité de sa classification séduit de nombreux naturalistes dans toute l’Europe, elle permet d’identifier rapidement un spécimen déjà classé et d’ajouter les nombreuses espèces nouvellement découvertes. Bernard de Fontenelle dira, dans son éloge posthume, que Tournefort a mis de l’ordre dans la « confusion magnifique » de la nature. Et même si son système sera vite abandonné au profit de celui de Carl Linnæus (1707-1778), c’est lui qui crée la nomenclature binominale reprise ensuite par Linné.©Céline Chagnard©Céline Chagnard La réédition lyonnaise de JussieuLa BU Lyon 1 conserve dans ses collections l’édition lyonnaise des Institutiones rei herbariae, publiée par Antoine de Jussieu (1686-1758) en 1719, plus de dix ans après la disparition de Tournefort. Le premier volume comporte une dédicace au Roi, suivie d’ajouts de Jussieu : une biographie de Pitton de Tournefort et ses commentaires sur la méthode du botaniste. Les 676 pages de textes et d’appendices sont précédées par une liste des noms abrégés des auteurs cités, d’explications sur le système de classement et de la table des 22 classes des genres. A la fin du volume figurent deux index (en latin et en français). Les deux tomes d’atlas ont un titre-frontispice montrant le Jardin du Roi, ils regroupent les 489 illustrations de Claude Aubriet gravées en taille-douce à pleine page. De format in quarto, les trois volumes sont reliés en veau marbré, les dos à nerfs sont ornés de motifs dorés avec des pièces de titre et de tomaison fauve, les tranches sont rouges.©Céline Chagnar©Céline Chagnard ConclusionBien que critiquée dès la fin du XVIIe siècle et même si elle est peu citée dans L’Encyclopédie, la classification de Tournefort restera populaire jusqu’au XVIIIe siècle et Voltaire écrira que Joseph Pitton de Tournefort a été « le plus grand botaniste de son temps »1.Autrice : Livia Rapatel, responsable des fonds patrimoniaux et de la programmation culturelle à la Bibliothèque universitaire Lyon 1——————————Note :[1] : Voltaire, Essay sur l’histoire générale, et sur les mœurs et l’esprit des nations, sl, sn, 1756, VII, p. 301>> Bibliographie : L’enseignement d’Antoine-Laurent de Jussieu au Muséum face au renouveau des doctrines de Linné sous la Restauration et la Monarchie de Juillet, Duris, Pascal, In Le Muséum au premier siècle de son histoire [en ligne]. Paris : Publications scientifiques du Muséum, 1997. Disponible en ligne [consulté le 23 janvier 2024].Les processus classificatoires appliqués aux objets naturels et leur mise en évidence. Quelques principes méthodologiques, Friedberg Claudine, In Journal d’agriculture tropicale et de botanique appliquée, vol. 21, n°10-12, Octobre-novembre-décembre 1974. pp. 313-334. Disponible en ligne [consulté le 23 janvier 2024].Tournefort (1656-1708), Leroy Jean-François, In: Revue d’histoire des sciences et de leurs applications, tome 9, n°4, 1956. pp. 350-354. Disponible en ligne [consulté le 23 janvier 2024].Botanique, thérapeutique et politique : le cas Pitton de Tournefort, Perez, Stanis. In Le Journal de botanique, n°85, 2019. Numéro thématique : 400e anniversaire de la première requête adressée au roi par Jean Riolan pour la création d’un Jardin des Plantes. Colloque Le jardin des Plantes de Paris (1618-2018) Médecins, apothicaires et botanistes. 20-21 avril 2018. pp. 58-65. Disponible en ligne [consulte le 23 janvier 2024].>> Autres publications de l’autrice :Concevoir et faire vivre une exposition en bibliothèque universitaire – In Payen, Emmanuelle (dir.), Exposer en bibliothèque : enjeux, méthodes, diffusion, Presses de l’Enssib, 2022 (coll. La Boîte à outils ; 51).L’action culturelle à l’université : l’exemple du SCD Lyon 1. In Colin Sidre (dir.), Faire vivre l’action culturelle et artistique en bibliothèque, Presses de l’Enssib, 2018 (coll. La Boîte à outils ; 43).La Fête de la Science en bibliothèque universitaire, l’exemple de la BU Lyon 1, et Le festival Science et Manga, une manifestation originale de la BU Lyon 1. In Justine Ancelin (dir.), Médiatiser la science en bibliothèque, Presses de l’Enssib, 2016 (coll. La Boîte à outils ; 35). >> Aller lire l’article original sur le site :BU Lyon 1
FFestival Science et Manga 2024 | Chat et manga, félin pour l’autre ! ©BU Lyon 1Les matous font leur festival à la BU Lyon 1. Deux passions dans l’air du temps se rencontrent à la BU, les mangas et les chats, pour la 14e édition du festival Science et Manga.Avez-vous déjà passé plusieurs minutes à regarder des vidéos de chats en ligne ? Vous êtes-vous déjà surpris ou surprise à vous attendrir devant des objets quotidiens parce qu’ils étaient décorés de chats ? Ce festival est pour vous ! Vous allez apprendre comment les chats ont conquis le monde, pourquoi on trouve des chats sans queue au Japon, ce qu’est un maneki neko, bref, vous allez pouvoir assouvir votre passion pour les chats.>> Au programme :Du 12 mars au 21 avril 2024 – Exposition : Chat et manga, félin pour l’autre !BU Sciences La Doua / Galerie BU12 mars 2024 > A 18h30 : vernissage de l’exposition | Hall de la BU Sciences La Doua> A 19h – Projection film Kiki la petite sorcière | BU Sciences La Doua / Salle de conférences14 mars 2024 de 12h15 à 13h45 – Conférence-débat Le chat : entre indépendance et interdépendance | BU Sciences La Doua / Salle de conférencesPour en savoir plus :Festival Science et manga
AAteliers BARCamp Le principe des ateliers BARCamp – Bienvenue à la Recherche – est de permettre aux doctorants ou jeunes chercheurs de présenter en une dizaine de minutes leur sujet de thèse à un public non initié et de valoriser l’activité de recherche auprès du public étudiant, dans un format moins conventionnel que les séminaires ou journées d’étude.Ce jeudi 14 décembre, 2 doctorants vous présenteront leurs travaux :Luca Francone est en 3e année de thèse à l’Institut Camille Jordan où il travaille sur le problème de branchement en théorie des représentations des groupes algébriques complexes réductifs. La théorie des représentations a des applications dans divers domaines des mathématiques, de la physique et de la chimie. Finaliste lyonnais du concours Ma thèse en 180 secondes en 2022, il présentera ses travaux sur la géométrie algébrique.Antoine Detaille est en 2e année de doctorat à l’Institut Camille Jordan. Son sujet de thèse porte sur les espaces de Sobolev à valeurs variétés. Il étudie les propriétés de certains espaces de fonctions. Son domaine de recherche est « multidisciplinaire » combinant plusieurs champs des mathématiques : l’analyse, qui est le thème principal, mais aussi la topologie ainsi que la géométrie. Cette diversité est une source importante de défis, puisqu’il est souvent amené à sortir de sa zone de confort et doit manipuler des outils avec lesquels il n’est pas toujours à l’aise, mais c’est un des aspects passionnants de son travail.>> En savoir plus :BU sciences Lyon 1V. Richin – Mars 2023/ ©BU Lyon 1
DDébat du campus : Les changements climatiques et environnementaux, quelles conséquences pour la santé ? De nombreuses nuisances environnementales, changement climatique, pollution de l’air, cadre de vie et de travail, impactent la santé des populations. La récente pandémie de SARS-CoV-2 l’a démontré.Dans ce contexte de bouleversements majeurs quelles connaissances avons-nous des conséquences que cela provoque sur la santé humaine ? Quelles sont les pathologies déjà identifiées ? Comment organiser la prévention et la recherche autour d’une préoccupation fondamentale pour notre siècle et les générations futures ? Avec la participation de :Loïc Blanchet-Mazuel, médecin généralistePatricia Bretones, endocrino-pédiatre à l’Hôpital Femme Mère Enfant (HFME)Frédéric Haesebaert, psychiatre et docteur en neurosciences.La modération sera assurée par Gilles Escarguel. >> Une conférence disponible en présentiel ou en ligne, ici : Youtube>> Plus d’informations :BU Lyon 1
FFestival Science et Manga | Édition 2023 13e festival | Tant qu’on sèmePour sa 13e édition, le Festival Sciences et Manga aborde avec un titre poétique « Tant qu’on sème », une thématique d’actualité, celle des graines et de leur rôle à l’heure du changement climatique et de la crise de la biodiversité.La bibliothèque universitaire, en partenariat avec le laboratoire Reproduction et Développement des plantes – RDP, le Laboratoire d’Écologie des Hydrosystèmes Naturels et Anthropisés – LEHNA, les Herbiers Lyon 1 et la Délégation régionale Rhône Auvergne du CNRS, propose une manifestation qui, tout en mettant en avant l’univers manga, invite à découvrir les secrets des plantes à graines qui représentent plus de 90% des espèces végétales terrestres.L’exposition permet de déambuler dans un jardin vert japonais en testant ses connaissances des plantes à graines, de s’installer au pied des cerisiers en fleurs pour un hanami, de découvrir la grainothèque-bouturothèque qui sera inaugurée à l’occasion du festival, ou encore de suivre l’association étudiante AELBO – Association des Étudiants de Lyon en Biologie des organismes, pour une initiation à la diversité des graines qui poussent sur le campus de la Doua.>>> Plusieurs rendez-vous sont proposés à l’occasion de ce festival :Conférence – débat : Qu’est-ce qu’on sème ? | Jeudi 9 mars de 12h15 à 13h45Changement climatique, perte de la biodiversité, soutenabilité des modes de production sont des problématiques interrogeant nos modes de vie actuels. Dans ce contexte, la graine semble avoir un rôle essentiel à jouer. Si petites soient-elles, les graines seraient-elles les actrices majeures pour nos champs, nos forêts et pour la qualité de nos aliments ? Quel est le rôle des graines pour participer à la résilience écologique des écosystèmes ?Avec la participation de : Gaëtan BAILLY, Docteur en droit de l’environnement, Régis DICK, Directeur du Conservatoire d’espaces naturels (CEN) Savoie, Ioan NEGRUTIU, Directeur de l’Institut Michel SerresProjection : Mon voisin Totoro de Hayao Miyazaki (1h27) | Jeudi 9 mars à 19hAteliers : Bombes à graines | Jeudi 23 mars de 12h à 14h – Sur réservationBalade : Promenons-nous dans la Doua | Les 14 et 18 avril de 12h à 13h30 – Sur réservationPour en savoir plus :FESTIVAL SCIENCE ET MANGA©BU Science Lyon 1