LLes forêts françaises face au changement climatique En 2023, l’Académie des sciences a publié un rapport sur Les forêts françaises face au changement climatique. Isabelle Chuine, qui a piloté le comité de rédaction du rapport, présentera lors de cette conférence un état des lieux de la situation ainsi que les principales recommandations retenues pour que les forêts françaises affrontent au mieux la menace climatique et continuent de contribuer au bien-être de l’humanité.Les forêts françaises couvrent 31% du territoire métropolitain. Elles contribuent de multiples façons au bien-être humain et participent aux Objectifs de Développement Durable fixés par l’ONU. La France s’étant engagée à atteindre la neutralité carbone dès 2050, le rôle de puits et de stockage de carbone des forêts est considéré comme un élément majeur de sa Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC).Depuis quelques années, les forêts françaises, dont la surface n’avait cessé de croître depuis plus d’un siècle, connaissent, de façon inquiétante, une diminution de productivité, des dépérissements massifs et un risque d’incendie accru. Le changement climatique met ainsi en péril les ressources forestières et leurs nombreuses contributions en matière de biodiversité, de développement rural, de bioéconomie, de bien-être sociétal et d’équilibre du bilan carbone de la France. Les enjeux sont considérables et l’orchestration des mesures à prendre s’avère extrêmement délicate en raison de la diversité des attentes de la société.Face à la complexité de la situation, le rapport de l’Académie des sciences Les forêts françaises face au changement climatique propose une série de recommandations qu’Isabelle Chuine présentera à l’occasion de cette conférence.Conférence organisée dans le cadre de l’exposition L’appel de la forêt.>> Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site :BM PART DIEU
ÀÀ la recherche des fumeurs noirs : la mission ARC-EN-SUB Il y a deux ans, une équipe internationale de géologues a embarqué sur le Pourquoi Pas ? pour une campagne en mer d’un mois au milieu de l’océan Atlantique. L’objectif de cette mission, nommée ARC-EN-SUB, est d’étudier la dorsale atlantique ; et en particulier ses systèmes hydrothermaux dont les fascinants fumeurs noirs. Pour le second anniversaire de cette aventure scientifique, nous vous proposons de replonger en vidéo dans les profondeurs des abysses à la découverte de ce monde inconnu et incroyable.L’équipe des scientifiques de la mission ARC-EN-SUBL’équipe internationale de 23 chercheurs et chercheuses dirigée par Muriel Andreani (LGL-TPE) et Javier Escartin (ENS) a étudié en détail le massif sous-marin de Rainbow, au large des Açores, pour retracer son histoire tectonique, magmatique et métamorphique. Grâce aux véhicules de la Flotte océanographique française opérée par l’Ifremer à bord du Pourquoi Pas, ils ont pu observer au plus près le fond de l’océan et on ramené de nombreux échantillons qui sont encore étudiés aujourd’hui en laboratoire.Pour partager au plus grand nombre cette aventure scientifique et humaine, le Labex LIO — Institut des origines de Lyon a financé le montage de plusieurs vidéos à partir des images ramenées par l’équipe et celles réalisées par le ROV Victor 6000.Mettez-vous à l’aise, éteignez les lumières et plongez à la découverte des abysses.>> Pour voir le court-métrage documentaire, rendez-vous sur le site deL’Observatoire de Lyon
RRetour aux origines ! Les portes ouvertes de l’Observatoire de Lyon © SDS-OSULL’Observatoire de Lyon ouvre ses portes les 14 et 15 juin prochain sur son site historique de Saint-Genis-Laval. Plongez au cœur des dernières découvertes en sciences de la Terre et de l’Univers, rencontrez les chercheurs et chercheuses de l’observatoire, participez à des jeux et des ateliers en famille ou entre amis !C’est l’événement incontournable de l’Observatoire de Lyon ! Tous les deux ans, nous vous ouvrons en grand les portes du site historique de l’observatoire à Saint-Genis-Laval pour vous plonger dans les sciences de la Terre et de l’Univers. Petits et grands, passionnés ou néophytes : vous êtes toutes et tous les bienvenues pour rencontrer les personnels de l’observatoire, visiter son patrimoine exceptionnel et découvrir les grands travaux de recherche qui y sont menés.Un programme riche et varié vous sera proposé avec, pour la première fois, pas une mais deux grandes soirées d’observations ! Les instruments de l’observatoire, dont son impressionnant télescope de 1 m de diamètre, ainsi que les instruments des clubs d’astronomies partenaires, seront pointés vers le ciel. Enfants et adultes pourront admirer les étoiles, la Lune, et rêver grâce à la merveilleuse histoire de l’Univers.Cette année, plein feu sur les origines ! Venez remonter le temps jusqu’aux origines de l’Univers, de la vie, et de notre observatoire.>> Retrouvez le programme et les informations pratiques sur le site internet :Observatoire de Lyon©Observatoire de Lyon
VVulnérabilités, qu’en disent les cartes ? Inondations, éboulements, épidémies, mouvements sociaux, guerres, accidents industrielles, incendies… Lyon est vulnérable à des événements variés, soudains ou au cheminement long et indécelable jusqu’au moment où ils s’imposent et menacent. Organisé dans le cadre du Congrès international sur l’histoire de la cartographie aux archives municipale de Lyon.Mais la plupart des événements passés, au moins jusqu’aux 18-19e siècles, n’ont laissé que des mots, bien insuffisants pour nous permettre de comprendre ce qui s’est passé, ni comment les Hommes composaient avec une nature et des installations humaines risquées.Quelques images (cartes ou dessins), parfois, nous permettent d’en saisir l’ampleur et les particularités.L’exposition interroge la ville sous l’angle de ses vulnérabilités, au travers de documents rarement vus, permettant de saisir comment la ville est aujourd’hui un environnement composé de dispositifs variés (quais, hôpitaux, police, aménagements pour le trafic, bétonnage des flancs des collines…) destinés à limiter de nombreux types de risques.Organisée dans le cadre du Congrès international sur l’histoire de la cartographie aux Archives municipales de Lyon.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :archives municipales de Lyon©Archives municipales de Lyon
MMusée Claude Bernard | Expositions temporaires ©Musée Claude BernardLe musée Claude Bernard, au cœur du Beaujolais, présente la vie et l’œuvre du grand scientifique Claude Bernard.À travers son exposition permanente et de nombreux objets ayant appartenu au savant, il dévoile le parcours et la personnalité du scientifique.Des dispositifs interactifs et numériques jalonnent le parcours et permettent aux visiteurs de questionner, de manipuler, d’expérimenter, et de se mettre dans la peau d’un chercheur.>> Venez découvrir les deux expositions temporaires :Sport et science, un duo gagnant ? | Du samedi 29 juin au dimanche 25 août©Musée Claude BertnardL’exposition temporaire « Sport et Science, un duo gagnant ? » vous propose de découvrir ce que le sport doit à la science et inversement. Comment la recherche parvient-elle à améliorer les performances physiques des sportifs ?Que se passe-t-il dans notre corps quand on est un athlète ? Jusqu’où la science peut-elle aller sans modifier les règles du jeu ? 500 millions d’années et un jour |Du samedi 31 août au jeudi 31 octobre©Géoparc du BeaujolaisLes roches du Beaujolais nous racontent un long et beau récit géologique, ponctué d’événements cataclysmiques, d’animauxdisparus, de mers calmes, de mers agitées mais aussi d’incertitudes. L’exposition, élaborée par le Géoparc du Beaujolais, propose une plongée vertigineuse dans ce récit qui se compte en millions d’années pour découvrir les roches du Beaujolais et les multiples usages qu’en ont fait les humains. Le programme du musée ici>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :Le musée Claude Bernard©Musée Claude Bernard
CConférences flottantes au Lac des Sapins | Géoparc du Beaujolais – ANNULÉ ÉVÈNEMENT ANNULÉLe Géoparc Beaujolais, classé géoparcs mondiaux UNESCO, organise la 4e édition des conférences flottantes au Lac des Sapins à Amplepuis. Au cœur du Beaujolais Vert, embarquez sur un pédalo avec un·e scientifique en Sciences de la Terre pour une mini-conférence insolite.Préparez-vous pour un grand plongeon dans l’histoire de la Terre. Pour l’occasion, un·e scientifique sera votre commandant·e de bord et vous fera naviguer à travers les Sciences de la Terre.Cette mini-conférence de 20 minutes, surprenante et confidentielle, vous offrira un échange privilégié avec votre intervenant afin d’en découvrir plus sur la géologie et sur notre territoire du Beaujolais.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :Geoparc Beaujolais©Géoparc Beaujolais
AA l’eau la Terre…plongez en Terre inconnue ! | Géo-évèvements ©Géoparc BeaujolaisPour la huitième année consécutive, le Beaujolais Géoparc mondial Unesco vous donne rendez-vous d’avril à novembre avec une programmation toujours aussi riche.En 2024, le Géoparc Beaujolais vous invite à plonger dans les 500 millions d’années d’histoire de la Terre, en mettant en lumière le lien qui existe entre notre patrimoine géologique et l’eau.En famille, en couple ou entre amis, venez découvrir un Beaujolais encore méconnu, qui se cache sous nos pieds, dans les murs des maisons ou encore dans les grands paysages.>>Au programme : balades commentées, conférences, ateliers, expositions, dégustations, chantiers participatifs, spectacles…Pour en savoir plus et consulter le programme :Géo-évènements©Géoparc Beaujolais
PPour boire, les dauphins doivent manger des poissons | The Conversation Pour tous les amoureux des animaux, le mois de septembre 2023 restera un mois noir. Sur les berges du lac Tefé, un affluent de l’Amazone au Brésil, 130 dauphins roses (Inia geoffrensis), 23 dauphins tucuxi (Sotalia fluviatilis), mais également des milliers de poissons ont été retrouvés sans vie.Brésil : plus de 120 dauphins roses retrouvés morts (France 24).Selon les propos des membres de l’Institut Mamirauá, un centre de recherche en partie financé par le ministère brésilien des Sciences, recueillis par le Parisien : « Il est encore tôt pour déterminer la cause de cet événement extrême, mais selon nos experts, il est certainement lié à la période de sécheresse et aux températures élevées du lac Tefé, dont certains points dépassent les 39 °C ».Et si ces dauphins, véritables icônes de la faune brésilienne, étaient morts de soif ? Cela semble improbable, me diriez-vous, puisqu’ils ont accès à de l’eau en abondance. Mais, savez-vous comment les dauphins s’hydratent ? Boivent-ils réellement l’eau dans laquelle ils vivent ? La réponse est non, voyons donc comment ils maintiennent un niveau d’hydratation correcte.Les dauphins vivant dans les océans ne boivent pas l’eau de merPour les dauphins d’eau douce, c’est encore un mystère puisqu’aucune étude scientifique ne s’est, à l’heure actuelle, intéressée à la question. En revanche, nous possédons des informations précieuses sur la manière dont les dauphins vivant dans les océans s’hydratent.Contrairement à ce que nous pourrions penser, les dauphins ne boivent pas l’eau salée dans laquelle ils vivent puisque pour eux, comme pour nous, un excès de sel peut être mortel. Dans notre étude récemment publiée dans la revue scientifique Journal of Experimental Biology, nous avons confirmé que les dauphins ne boivent pas de l’eau de mer contrairement aux poissons osseux (le thon, le hareng ou encore la sardine), aux tortues marines et aux oiseaux marins. En effet, boire de l’eau de mer nécessite de disposer d’un moyen de se débarrasser de l’excès de sel, et certains animaux marins disposent pour ce faire d’organes appelés glandes à sels.Les dauphins en sont dépourvus, et leurs reins ne sont pas capables d’éliminer une quantité trop importante de sels. Mais alors, comment s’hydratent-ils ? Les dauphins ne boivent pas « volontairement » comme nous pourrions l’imaginer, ils s’hydratent de manière indirecte grâce à l’eau contenue au sein de leurs proies (entre 70 et 85 % de la masse totale chez les poissons) et de l’eau produite au niveau des mitochondries, des organites situés dans les cellules, qui produisent de l’eau, appelée eau métabolique, issue de la dégradation des molécules organiques ingérées par l’animal (glucides, protéines, lipides).La question de l’hydratation chez les dauphins agitait l’esprit des scientifiques depuis près d’un siècle. Les premières études physiologiques réalisées au milieu du vingtième siècle avaient montré qu’ils ne buvaient pas, mais les expériences se basaient uniquement sur des dauphins à jeun et donc privé d’une source d’eau : la nourriture.Aujourd’hui, c’est l’eau des proies et l’eau métabolique qui sont considérées comme les deux principales sources d’eau chez les dauphins, mais leurs contributions respectives restent inconnues, en particulier chez les animaux nourris. Pour déterminer la proportion respective d’eau provenant des proies, de l’eau métabolique et de l’eau salée environnante chez les Odontocètes (les cétacés à dents tels que les dauphins, les orques ou encore les cachalots en opposition aux Mysticètes, les baleines à fanons), nous avons analysé la composition isotopique de l’oxygène (18O et 16O, tous deux des atomes d’oxygène, mais dont la masse diffère par leur nombre de neutrons au sein de leur noyau) de l’eau contenue dans leur corps afin de déterminer son origine.Les isotopes de l’oxygène comme traceurs des sources d’eauPour cela nous avons mesuré la composition isotopique de l’oxygène de l’eau contenue dans le plasma sanguin et de l’urine de quatre orques, Orcinus orca, et de neuf grands dauphins, Tursiops truncatus, nés et élevés en structure zoologique. Ces valeurs ont été comparées à celle de l’eau contenue dans leurs proies et celle de l’eau environnante (eau du bassin dans lequel ils vivent) et ceci pendant un an et à intervalles réguliers.Prise de sang sur un grand dauphin, Tursiops truncatus. / ©R.Amiot au Zoo Marineland, Fourni par l’auteurPuis dans un second temps, ces données ont servi à alimenter un modèle mathématique permettant de prédire les contributions des différentes sources d’eau des cétacés.Les résultats isotopiques obtenus et ceux de la modélisation indiquent que l’eau des proies constitue la source principale d’apport d’eau chez les orques et les grands dauphins (61–67 % des apports totaux), suivie par l’eau métabolique (28–35 % des apports totaux). La production d’eau métabolique étant significativement plus élevée chez les orques dont le régime alimentaire est plus riche en lipides. Le reste étant de l’eau de mer environnante ingérée accidentellement et de la vapeur d’eau inhalée lors de la respiration.Contributions relatives de chacune des sources d’eau chez les orques et les grands dauphins. / ©Nicolas Séon, Fourni par l’auteurNos recherches apportent de nouvelles informations sur la physiologie des cétacés, avec des implications majeures concernant les problématiques de conservation concernant ces organismes. En raison du fait que ces animaux tirent de leur nourriture l’eau permettant de les maintenir hydratés, la surpêche dans certaines régions du monde et le réchauffement climatique actuel qui affecte la distribution des proies des cétacés s’affichent comme des défis majeurs pour la préservation de la biodiversité marine.>> Les auteurs : Cet article a été coécrit par Isabelle Brasseur, Responsable Éducation – Recherche et Conservation à Marineland Côte d’Azur.Nicolas Séon, Docteur en paléontologie, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN);Peggy Vincent, chercheuse CNRS en paléontologie, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)et Romain Amiot, Chargé de Recherche, Université Claude Bernard Lyon 1Le projet OXYMORE est soutenu par l’Agence nationale de la recherche (ANR), qui finance en France la recherche sur projets. Elle a pour mission de soutenir et de promouvoir le développement de recherches fondamentales et finalisées dans toutes les disciplines, et de renforcer le dialogue entre science et société. Pour en savoir plus, consultez le site de l’ANR.Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons.>> Lire l’article original sur le site :The conversation
TTrois regards sur le vivant | Escale Tara à Lyon La goélette Tara en Antarctique / ©Maeva Bardy – Fondation Tara Ocean_620À l’occasion de l’escale de la Fondation Tara Océan à Lyon, une conférence intitulée « Trois regards sur le vivant » a été proposée afin d’enrichir et de décloisonner notre relation à la nature. Nous vous invitons à revivre cet événement grâce à la vidéo de la conférence :>> Pour en savoir plus, rendez-vous sur leur site ou leur chaîne YouTube :Fondation Tara oceanChaine Youtube
RRicochets, les podcasts de La Rotonde En 2023, La Rotonde (centre de culture scientifique) monte le son et lance Ricochets, des podcasts aux formats divers pour faire rebondir les sciences !Pour faire rebondir les sciences et permettre aux cercles qu’elles forment pour élargir nos connaissances, La Rotonde a lancé Ricochets. Des podcasts qui au fil de l’eau inviteront les auditeurs à comprendre, questionner et débattre de sujets qui nous concernent toutes et tous dans leurs liens et leurs impacts entre les sciences et la société.Émissions disponibles sur toutes les plateformes de podcast (Spotify, Apple Podcast, Amazon Music, Google Podcasts, etc.).Émission #1 – Enjeux environnementaux et urgence climatiqueLa première émission se déroulait en public avec comme thème : Enjeux environnementaux et urgence climatique. Quelles priorités pour la recherche ? Quels sont les rôles des chercheurs ? Quelle formation pour les futurs ingénieurs ? Des questions venues engager les échanges entre les trois invités présents, des chercheurs de l’École :Natacha Gondran, enseignante- chercheure en évaluation environnementale au Département Génie de l’Environnement et des Organisations de l’Institut Henri Fayol et déléguée au développement durable de Mines Saint-ÉtienneJean-Michel Herri, professeur et directeur du Centre SPIN (Science des Processus Industriels et Naturels) de Mines Saint-ÉtienneKrzysztof Wolski, directeur adjoint de Mines Saint-Étienne, en charge des formations.Le tout, agrémenté par des chroniques, préparées et présentées par l’équipe de La Rotonde. RICOCHETs L’ÉMISSION #1 Émission #2 – Intelligence (s)« Pour vous, c’est quoi l’intelligence ? » Quand on pose cette question, les humains, forcément, parlent d’eux. Mais l’intelligence est-elle partagée par d’autres domaines du vivant, de la cellule à l’animal en passant par le végétal ? Et quand l’intelligence devient artificielle, sur quoi se base-t-elle ? Et menace-t-elle celle, toute humaine, qui l’a construite ?Intervenants : Florence Levréro, éthologue spécialisée en primatologie et bio-acoustique du laboratoire ENES de l’Université Jean Monnet,Olivier Boissier, directeur de l’Institut Fayol de l’École des Mines, chercheur en informatique et chercheur au LIMOS UMR CNRS 6158)Jacques Roux , sociologue et commissaire de l’expo « Génial ! ».Des échanges ponctués de « micro-expo » et de chroniques préparées et présentées par l’équipe de La Rotonde.Ricochets l’émission #2 Émission #3 – Les futurs de la santéEntre dispositifs technologiques médicaux et réorganisation des soins primaires, quels défis d’aujourd’hui dessinent le futur de la santé ? Comment la médecine négocie-t-elle ce grand écart entre d’un côté une numérisation et une technologie médicales de plus en plus pointues dont elle dispose et de l’autre, des territoires ou des conditions qui éloignent certains patients du soin ? Quelles réponses et quel accompagnement un centre de recherche en ingénierie de la santé peut-il apporter ? Et face aux enjeux liés aux bouleversements climatiques, comment le corps, placé dans des situations extrêmes, réagit-il ?Invité·es :Vincent Augusto, directeur du Centre Ingénierie et Santé de l’École des Mines de Saint-Étienne ;Chloé Gouttefangeas, médecin exerçant à Beauzac (43) dans un environnement innovant d’organisation médicale en milieu rural ;Martin Saumet, un des « climatonautes » ayant participé aux différentes expéditions en milieux extrêmes organisées par Christian Clot et le Human Adaptation Institute dans le cadre du projet Deep Climate. Ricochets L’émission #3 Pour en savoir plus :La rotonde – Mines Saint-Étienne