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250 ans d’Ampère : Ampère en continu …

2250 ans d’Ampère : Ampère en continu …

Il y aura des étincelles ! En préparation du 250e anniversaire de la naissance d’André-Marie Ampère en 2025, la Bibliothèque universitaire et ses partenaires célèbrent Ampère et ses découvertes. Pour être au jus, venez redécouvrir l’histoire de l’électricité, les découvertes d’aujourd’hui et les nouveaux défis pour la science de demain.

La BU vous invite à plonger dans la vie de ce scientifique de génie qui a révolutionné l’électricité et dont les intuitions ont inspiré nombre de ses successeurs.
L’exposition proposera différents coups de projecteurs sur l’homme et ses découvertes.

Les recherches en cours dans des laboratoires lyonnais feront écho aux instruments et documents d‘époque pour éclairer l’élaboration de l’électricité.

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BU Lyon 1

Visite de laboratoire

VVisite de laboratoire

La plateforme d’imagerie par magnéto encéphalo graphie – MEG –  du Centre d’Étude et de Recherche Multimodal Et Pluridisciplinaire – CERMEP – ouvre ses portes au public. Vous pourrez découvrir de nouvelles possibilités d’imagerie fonctionnelle et non-invasive du cerveau.

Ces techniques de pointe, déjà utilisées pour les épilepsies, seront applicables à d’autres pathologies et troubles cognitifs.

La visite est ouverte à toute personne intéressée.

Intervenants :

  • Dr Denis Schwartz, ingénieur Inserm au CERMEP (Centre d’Étude et de Recherche Multimodal Et Pluridisciplinaire en imagerie du vivant)
  • Dr Julien Jung, neurologue, professeur associé dans le Service de neurologie fonctionnelle et épileptologie, Hospices Civils de Lyon – HCL et Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon – CRNL

> Programme :

  • Accueil à la délégation Inserm Auvergne-Rhône-Alpes
  • Visite de la plateforme d’imagerie

Le campus du LIBRE

LLe campus du LIBRE

Le Campus du LIBRE donne rendez-vous pour sa 7e édition : un événement autour du LIBRE organisé par des personnes issues du milieu universitaire (étudiants et personnels) pour les étudiants lyonnais. L’évènement réunit toutes les personnes intéressées, ou simplement curieuses, par la culture du libre ou les logiciels libres lors d’une journée entière.

Le Campus du Libre fait partie des évènements majeurs des logiciels libres à ne pas manquer sur Lyon et ses environs. Il promeut et présente des alternatives libres aux logiciels propriétaires, échange sur la culture et les valeurs du libre, cela sous différentes formes :

  • Village associatif : des associations / entreprises présentent leurs domaines et produits aux visiteurs ;
  • Ateliers : les participants peuvent acquérir des connaissances sur des logiciels présentés lors des ateliers, obtenir de l’aide pour installer Linux sur leur ordinateur personnel, et /e/OS sur leur smartphone ;
  • Démonstrations / Ateliers pratiques : présentation ou partage d’expérience sur des logiciels présentés par un professionnel ou un intervenant ;
  • Conférences : la durée des conférences est de 30 minutes suivies de 15 minutes de questions/débats.

L’objectif est de partager différents aspects du libre et des communs, allant par exemple du logiciel libre (Linux, Firefox, etc.) aux espaces communs gérés collaborativement (Wikipedia, OpenStreetMap). Il est bien sûr gratuit de participation et de contribution.

>> Consultez le programme 

>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : 

Le campus du libre

©Campus Du Libre

Concert scientifique Immersons

CConcert scientifique Immersons

Comment votre oreille et votre cerveau perçoivent-ils les sons ? Comment localisez-vous une source sonore dans l’espace ? Comment entendrait-on avec une seule oreille ? Pour répondre à ces questions, le quintet OPHONIUS vous invite dans un espace sonore à trois dimensions au cours d’un spectacle mêlant musique, expériences, illustrations et phénomènes perceptifs. Entrez ainsi dans le monde de la perception sonore et découvrez comment sont perçus les sons par l’oreille humaine.

Le Laboratoire Centre Lyonnais d’Acoustique – LabEx CeLyA – de l’Université de Lyon, en collaboration avec le théâtre Astrée de l’Université Lyon 1, organise un concert scientifique à l’attention des Lycéens de la Région Auvergne Rhône Alpes.

Ce concert est donné grâce au soutien financier du LABEX CeLyA (ANR-10-LABX-0060) de l’Université de Lyon, dans le cadre du Plan France 2030 mis en place par l’État et géré par l’Agence Nationale de la Recherche (ANR) en collaboration avec le laboratoire LAUM, Le Mans Université,Adamson, Le Mans sonore.

>> Pour en savoir plus, consultez le site du :

LabEx CelyA

Semaine de l’industrie 2024 : partez à la rencontre des métiers de l’industrie

SSemaine de l’industrie 2024 : partez à la rencontre des métiers de l’industrie

Organisée depuis 2011 par la Direction générale des Entreprises (DGE), la Semaine de l’industrie a pour objectif d’éclairer les choix d’orientation des jeunes, en les invitant à découvrir les métiers, les opportunités de carrière et les hommes et les femmes qui font l’industrie.

Tous les événements organisés dans le cadre de la Semaine de l’indutrie sont ouverts aux collégiens, lycéens, étudiants, demandeurs d’emploi, communauté éducative, professionnels des ressources humaines et au grand public, afin de montrer que l’industrie est non seulement innovante, mais aussi pleine d’opportunités pour toutes et tous.

>> Au programme :

  • Cette année, INDULO participe à cet événement national et vous propose plusieurs rendez-vous du 18 au 24 novembre

>> Pour en savoir plus : INDULO

  • L’Académie aéronautique et spatiale Auvergne-Rhône-Alpes vous invite à des visites exceptionnelles de sites dédiés aux technologies de pointe dans les secteurs de l’aéronautique et du spatial, du 18 au 20 novembre (dans le cadre des Médiations pour les Métropoles en Culture industrielle Aéronautique – M2CIA, dont Pop’Sciences est partenaire).

>> Découvrez les rdv proposés (sur inscription) : Académie aéronautique et spatiale

Leçons d’electricité appliquée, professées en 1899-1900 | Livre numérisé

LLeçons d’electricité appliquée, professées en 1899-1900 | Livre numérisé

À l’occasion des 250 ans de la naissance d’André-Marie Ampère, la bibliothèque universitaire de l’Université Claude Bernard Lyon 1 propose de feuilleter en ligne le cours manuscrit de Pierre Weiss sur l’électricité.

Physicien originaire de Mulhouse, Pierre Ernest Weiss (1865-1940) est un spécialiste du magnétisme : ses travaux sont à l’origine de l’invention d’électroaimants très puissants. Après avoir été maître de conférences à la Faculté des sciences de Rennes, il accepte en 1899 le poste que lui propose l’Université de Lyon. Ses cours, retranscrits par son préparateur Marius Perrigot, sont imprimés à Lyon.

La BU Lyon 1 en conserve un exemplaire qui a été numérisé avec le soutien de la BNF.

Weiss quitte Lyon en 1902 pour devenir professeur à l’École polytechnique fédérale de Zurich. En1919, il revient en France, à l’Université de Strasbourg, où il crée un Institut consacré à la recherche sur le magnétisme, sur le modèle de celui qu’il dirigeait à Zurich. En 1939, il ne suit pas le repli de l’Université de Strasbourg à Clermont-Ferrand et revient à Lyon où il décède en 1940.

>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : 

BU LYON 1

Depuis Garry Kasparov contre Deep Blue, ce que nous apprend l’histoire des échecs sur les risques de l’IA | The Conversation

DDepuis Garry Kasparov contre Deep Blue, ce que nous apprend l’histoire des échecs sur les risques de l’IA | The Conversation

En 1997, le champion du monde d’échecs Garry Kasparov perd pour la première fois de l’histoire un match face à un ordinateur, Deep Blue. Cet événement historique pour le jeu comme pour l’informatique est aujourd’hui porté à l’écran dans une minisérie d’Arte, Remacth. 27 ans plus tard, qu’est-ce que la défaite de l’humain contre la machine nous a appris, et ces leçons peuvent-elles éclairer l’arrivée massive de l’IA dans nos vies ?

Les récents progrès de l’intelligence artificielle (IA), comme le développement des IA génératives avec l’apparition de ChatGPT en novembre 2022, ont soulevé beaucoup d’interrogations, d’espoirs, et de craintes. Courant printemps 2023, le Congrès américain a auditionné OpenAI, la société ayant développé ChatGPT et l’Union européenne vient d’adopter son premier texte législatif au sujet de l’IA.

Dans les parlements comme sur les réseaux sociaux, les rapides progrès de l’IA animent les discussions. À l’avenir, à quels impacts faut-il s’attendre sur notre société ? Pour tenter de répondre à cette question de manière dépassionnée, nous proposons de regarder ce qui s’est passé dans un secteur qui a déjà connu l’arrivée et la victoire de l’IA sur les capacités humaines : les échecs. La machine y a en effet un niveau supérieur à celui des humains depuis maintenant plus d’un quart de siècle.

Pourquoi le jeu d’échecs comme indicateur ?

Depuis les débuts de l’informatique, les échecs ont été utilisés comme un indicateur des progrès logiciels et matériels. C’est un jeu intéressant à de multiples niveaux pour étudier les impacts des IA sur la société :

  • C’est une activité intellectuelle qui demande différentes compétences : visualisation spatiale, mémoire, calcul mental, créativité, capacité d’adaptation, etc., compétences sur lesquelles l’IA vient concurrencer l’esprit humain.
  • Le jeu n’a pas changé depuis des siècles. Les règles sont bien établies et cela donne une base stable pour étudier l’évolution des joueurs.
  • Il est possible de mesurer la force des machines de manière objective et de comparer ce niveau à celui des humains avec le classement Elo.
  • Le champ d’études est restreint : il est clair que les échecs ne sont qu’un tout petit aspect de la vie, mais c’est justement le but. Cette étroitesse du sujet permet de mieux cibler les impacts des IA sur la vie courante.
  • Les IA ont dépassé le niveau des meilleurs joueurs humains depuis plus de 20 ans. Il est donc possible de voir quels ont été les impacts concrets sur le jeu d’échecs et la vie de sa communauté, qui peut être vue comme un microcosme de la société. On peut également étudier ces impacts en regard de la progression des IA au cours du temps.

Explorons quelles ont été les évolutions dans le monde des échecs depuis que Garry Kasparov, alors champion du monde en titre, a perdu une partie contre Deep Blue en 1996, puis le match revanche joué en 1997. Nous allons passer en revue plusieurs thèmes qui reviennent dans la discussion sur les risques liés aux IA et voir ce qu’il en a été de ces spéculations dans le domaine particulier des échecs.

Les performances de l’IA vont-elles continuer à augmenter toujours plus vite ?

Il existe deux grandes écoles pour programmer un logiciel d’échecs : pendant longtemps, seule la force brute fonctionnait. Il s’agissait essentiellement de calculer le plus vite possible pour avoir un arbre de coups plus profonds, c’est-à-dire capable d’anticiper la partie plus loin dans le futur.

Un arbre des coups : une situation initiale, 3 positions possibles au coup d’après, puis pour chaque position encore 3 possibilités

À partir d’une position initiale, l’ordinateur calcule un ensemble de possibilités, à une certaine profondeur, c’est-à-dire un nombre de coups futurs dans la partie. | ©BY-SA Chris Butner

 

Aujourd’hui, la force brute est mise en concurrence avec des techniques d’IA issues des réseaux de neurones. En 2018, la filiale de Google DeepMind a produit AlphaZero, une IA d’apprentissage profond par réseau de neurones artificiels, qui a appris tout seul en jouant contre lui-même aux échecs. Parmi les logiciels les plus puissants de nos jours, il est remarquable que LC0, qui est une IA par réseau de neurones, et Stockfish, qui est essentiellement un logiciel de calcul par force brute, aient tous les deux des résultats similaires. Dans le dernier classement de l’Association suédoise des échecs sur ordinateur (SSDF), ils ne sont séparés que de 4 points Elo : 3 582 pour LC0 contre 3 586 pour Stockfish. Ces deux manières totalement différentes d’implanter un moteur d’échecs sont virtuellement indistinguables en termes de force.

En termes de points Elo, la progression des machines a été linéaire. Le graphique suivant donne le niveau du meilleur logiciel chaque année selon le classement SSDF qui a commencé depuis le milieu des années 1980. Le meilleur logiciel actuel, LC0, en est à 3586, ce qui prolonge la figure comme on pourrait s’y attendre.

Cette progression linéaire est en fait le reflet d’une progression assez lente des logiciels. En effet, le progrès en puissance de calcul est, lui, exponentiel. C’est la célèbre loi de Moore qui stipule que les puissances de calcul des ordinateurs doublent tous les dix-huit mois.

Cependant, Ken Thompson, informaticien américain ayant travaillé dans les années 80 sur Belle, à l’époque le meilleur programme d’échecs, avait expérimentalement constaté qu’une augmentation exponentielle de puissance de calcul conduisait à une augmentation linéaire de la force des logiciels, telle qu’elle a été observée ces dernières dizaines d’années. En effet, le fait d’ajouter un coup supplémentaire de profondeur de calcul implique de calculer bien plus de nouvelles positions. On voit ainsi que l’arbre des coups possibles est de plus en plus large à chaque étape.

Les progrès des IA en tant que tels semblent donc faibles : même si elles ne progressaient pas, on observerait quand même une progression de la force des logiciels du simple fait de l’amélioration de la puissance de calcul des machines. On ne peut donc pas accorder aux progrès de l’IA tout le crédit de l’amélioration constante des ordinateurs aux échecs.

La réception par la communauté de joueurs d’échecs

Avec l’arrivée de machines puissantes dans le monde des échecs, la communauté a nécessairement évolué. Ce point est moins scientifique mais est peut-être le plus important. Observons quelles ont été ces évolutions.

« Pourquoi les gens continueraient-ils de jouer aux échecs ? » Cette question se posait réellement juste après la défaite de Kasparov, alors que le futur des échecs amateurs et professionnels paraissait sombre. Il se trouve que les humains préfèrent jouer contre d’autres humains et sont toujours intéressés par le spectacle de forts grands maîtres jouant entre eux, et ce même si les machines peuvent déceler leurs erreurs en temps réel. Le prestige des joueurs d’échecs de haut niveau n’a pas été diminué par le fait que les machines soient capables de les battre.

Le style de jeu a quant à lui été impacté à de nombreux niveaux. Essentiellement, les joueurs se sont rendu compte qu’il y avait beaucoup plus d’approches possibles du jeu qu’on le pensait. C’est l’académisme, les règles rigides, qui en ont pris un coup. Encore faut-il réussir à analyser les choix faits par les machines. Les IA sont par ailleurs très fortes pour pointer les erreurs tactiques, c’est-à-dire les erreurs de calcul sur de courtes séquences. En ligne, il est possible d’analyser les parties de manière quasi instantanée. C’est un peu l’équivalent d’avoir un professeur particulier à portée de main. Cela a sûrement contribué à une augmentation du niveau général des joueurs humains et à la démocratisation du jeu ces dernières années. Pour le moment, les IA n’arrivent pas à prodiguer de bons conseils en stratégie, c’est-à-dire des considérations à plus long terme dans la partie. Il est possible que cela change avec les modèles de langage, tel que ChatGPT.

Les IA ont aussi introduit la possibilité de tricher. Il y a eu de nombreux scandales à ce propos, et on se doit de reconnaître qu’il n’a pas à ce jour de « bonne solution » pour gérer ce problème qui rejoint les interrogations des professeurs qui ne savent plus qui, de ChatGPT ou des étudiants, leur rendent les devoirs.

Conclusions temporaires

Cette revue rapide semble indiquer qu’à l’heure actuelle, la plupart des peurs exprimées vis-à-vis des IA ne sont pas expérimentalement justifiées. Le jeu d’échecs est un précédent historique intéressant pour étudier les impacts de ces nouvelles technologies quand leurs capacités se mettent à dépasser celles des humains. Bien sûr, cet exemple est très limité, et il n’est pas possible de le généraliser à l’ensemble de la société sans précaution. En particulier, les modèles d’IA qui jouent aux échecs ne sont pas des IA génératives, comme ChatGPT, qui sont celles qui font le plus parler d’elles récemment. Néanmoins, les échecs sont un exemple concret qui peut être utile pour mettre en perspective les risques associés aux IA et à l’influence notable qu’elles promettent d’avoir sur la société.The Conversation

>> L’auteur :

Frédéric Prost, Maître de conférences en informatique, INSA Lyon – Université de Lyon

Cet article est republié sous licence Creative Commons.

>> Lire l’article original :

The Conversation

Les images numériques dans la guerre Ukraine/Russie

LLes images numériques dans la guerre Ukraine/Russie

La Bibliothèque université Lyon III Jean Moulin vous invite à sa conférence sur les enjeux sensibles de l’articulation entre l’espace public, médias et images dans le contexte de l’invasion russe de l’Ukraine.

Loin d’offrir un accès direct au réel, les images proposent une représentation « immanquablement prismatique » (Gervereau 2006 : 9), qui se construit à partir de points de vue différents qui se recoupent. Reflets extrêmement fragiles de la réalité, les images sont très dépendantes de la manière dont elles ont été obtenues ou créées, interprétées et intégrées dans des dispositifs info-communicationnels.

A partir d’une démarche d’ethnographie numérique, nous analyserons diverses images qui circulent sur les plateformes numériques en temps de guerre : photographies, dessins de presse, memes, visualisations de données et contenus visuels générés par l’IA. Nous discuterons des façons dont ces images constituent des prétextes pour discuter d’une actualité brûlante et produire des discours sociaux et des récits qui font sens.

Intervenante :

  • Valentyna Dymytrova : maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’Université Jean Moulin Lyon 3

 

>> Pour en savoir plus : 

BU LYON III

©Université Lyon III Jean Moulin

Synchronisation et chaos : deux qualités de notre cerveau inégalées par l’IA | Cortex Mag

SSynchronisation et chaos : deux qualités de notre cerveau inégalées par l’IA | Cortex Mag

L’intelligence artificielle (IA) alimente de nombreux mythes. Entre autres, celui d’être à l’avenir douée de capacités cognitives identiques à celles de notre cerveau. L’IA est pourtant loin de pouvoir mimer le fonctionnement cérébral. Explications de Matteo Di Volo, chercheur en neurosciences à l’Institut des cellules souches et du cerveau (SBRI) de Lyon.

Depuis l’irruption brutale de ChatGPT en novembre 2022, l’intelligence artificielle (IA) est sortie des labos. Bouleversant les outils technologiques de notre quotidien, elle est passée sur le devant de la scène publique et médiatique. Il est question de prendre le train en marche sous peine de se faire dépasser. Le public peu averti craint les bouleversements à venir, tandis que les effets d’annonce s’enchaînent, alimentant toutes sortes de mythes. L’un d’entre eux correspond à l’avènement d’une « super intelligence artificielle » dotée de capacités cognitives similaires à celles des êtres humains. Une IA capable entre autres d’analyser par elle-même un problème, de le comprendre et de trouver une solution. […]

Un article rédigé par Caroline Depecker, journaliste scientifique et rédactrice en chef de Cortex Mag, avec l’expertise de Matteo Di Volo, Professeur Junior à l’Université Claude Bernard Lyon 1 et membre de l’équipe Neurobiologie des fonctions exécutives à l’Institut cellule souche et cerveau – SBRI 

>> Article à lire en intégralité sur :

Cortex mag

Découvrez « Point de bascule » : le média qui invite à changer de regard et façonne les possibles !

DDécouvrez « Point de bascule » : le média qui invite à changer de regard et façonne les possibles !

Citoyens, ingénieurs, chercheurs : si vous êtes à la recherche de contenus pour élargir vos horizons, l’L’Institut national des sciences appliquées de Lyon – INSA Lyon – propose un média fait pour vous !

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