LLa question environnementale chez Jules Verne Les Presses universitaires de Lyon –PUL– proposent un nouveau format de rencontre : assistez à une fusion entre art visuel et rigueur scientifique !Deux rendez-vous avec Kevin Even, auteur du livre Jules Verne et la question environnementale. Écrire, prédire, prévenir la catastrophe écologique (coll. Littérature & idéologies).>> Deux rendez-vous au programme :De 12h45 à 13h45 | Rencontre dessinée, croquer la science pour l’éclairer !Kevin Even dialoguera avec la dessinatrice Lou Herrmann qui réalisera en direct des illustrations inspirées par l’ouvrage présenté.> Modération : Emmanuel Taïeb.> Lieu : Librairie des PUL – Lyon 7e> Nombre de places limitées : inscription (gratuite)À 19h | Débat dédicace Aborder l’œuvre de Jules Verne par le prisme de l’écologie peut surprendre. N’est-ce pas faire preuve d’anachronisme ? Gwilherm Pertuis interrogera Kevin Even sur la pertinence de cette approche à travers l’exploration de trois romans du célèbre auteur : Les Indes noires, Sans dessus dessous et L’Invasion de la mer.> Modération : Gwilherm Pertuis> Lieu : Librairie L’Œil Cacodylate – Lyon 2e> Réservation recommandée : contact.oeilcacodylate@gmail.com – 04 78 42 65 67>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : PUL
LL’appel de la forêt Cet automne, la Bibliothèque Municipale de Lyon Part-Dieu – BML – vous invite à vous plonger dans les profondeurs de la forêt. Écosystème riche et complexe, indispensable au cycle de la vie, espace de travail ou de loisir, la forêt ne cesse de nous enchanter et de nous surprendre.©BMLÀ l’image d’une promenade en forêt, cette exposition entraine petits et grands à la (re)découverte de ce milieu, à la fois familier et éloigné de notre quotidien. Le parcours propose trois regards distincts :> celui de l’artiste,> celui du forestier,> celui du scientifique.Rêver la forêt, s’émerveiller sur son fonctionnement ou questionner les enjeux actuels … Quel sentier choisirez-vous ?Au gré d’une déambulation où chacun peut construire son itinéraire en fonction de ses envies, l’exposition donne à voir et à entendre des œuvres issues des collections patrimoniales de la Bibliothèque municipale, tout en faisant appel aux regards d’artistes contemporains. Parallèlement, de nombreux dispositifs interactifs et participatifs permettent à tous de découvrir et de s’approprier les multiples facettes de la forêt avec pour fil rouge les illustrations de Gaëlle Alméras, extraites de l’ouvrage à paraître chez George : Mon super week-end de la forêt.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : BM Lyon Part-Dieu
RRVB – Rouge Vert Bleu Présentée au musée de l’Imprimerie et de la Communication graphique en 2023, l’exposition RVB – Rouge Stephen King Vert Véronèse Bleu Maggie Nelson – se déploie et voyage dans les bibliothèques de Lyon. Une sélection d’œuvres, de récits et d’images sera présentée à la bibliothèque Jean Macé, pour ravir les grand·es comme les petit·es !Comment l’œil perçoit la couleur ? Couleurs additives, soustractives, trames, peinture, pigments : à côté d’un retour sur la formation de ces couleurs, RVB propose d’explorer les mondes de trois artistes pour donner un éclairage esthétique et émotionnel à l’ensemble : Stephen King, Véronèse et Maggie Nelson.Le rouge permet d’exposer les différentes passions de Stephen King pour l’écriture, la littérature policière et fantastique, ainsi que les films adaptés de ses œuvres. De Shining à Dead Zone, ses livres-cultes, très autobiographiques, font la part belle à ses peurs et ses joies d’enfance, bien plus que l’on ne l’imagine.Le Vert Véronèse est le nom attribué à une teinte spécifique de couleur, qui pousse à faire le lien avec l’utilisation du vert dans les tableaux du maître italien du 16e siècle. L’exposition met alors côte à côte des sujets traversant toute la complexité des perceptions du vert, comme le jeu vidéo Zelda.Enfin, l’autrice et poétesse Maggie Nelson a composé l’ouvrage Bleuets (2009) à partir des différentes formes de l’obsession qu’elle a contractée pour la couleur bleue à la suite d’une rupture amoureuse. Son texte sera confronté, découpé en fragments, avec une sélection d’images « bleues » venues des collections du musée, de l’histoire de l’art et de la culture pop, pour rendre hommage à ce livre, véritable ode à la mélancolie et la résilience.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : BM de Lyon
CCohabiter avec le sauvage : vivre avec les loups Nous explorons le sujet essentiel de la cohabitation avec le sauvage à travers la figure emblématique du loup, aussi fascinante, merveilleuse, qu’effrayante et porteuse de bien des mythes, avec deux films incontournables, beaux et prenants, du cinéaste Jean-Michel Bertrand.Au-delà du loup, nous interrogerons notre lien au vivant, au sauvage, et les façons dont nous pouvons questionner, réinventer ce rapport : comment vivre avec, lui laisser de la place, comment reprendre conscience du lien indéfectible entre l’existence humaine et celle de la vie sauvage, de notre interdépendance.En partenariat avec : France Nature et Environnement du Rhône – FNE Rhône – et avec le soutien de la Métropole de Lyon.>> Au programme :Mardi 12 novembre à 20h | Projection Vivre avec les loups de Jean-Michel Bertrand (2023, 1h29)©Jean-Michel BertrandIl y aura bientôt des loups un peu partout en France. Comment apprendre à vivre avec eux ?L’auteur nous amène de manière sensible et cinématographique à percevoir différemment la nature qui nous entoure et les animaux qui l’habitent : chevreuils, chamois, bouquetins… Un voyage à la fois naturaliste, sociologique et philosophique, en compagnie de Jean-Michel Bertrand, ponctué de surprenantes rencontres, humaines et animales.En présence d’Emma Marinho (FNE Rhône), chargée de mission biodiversité – mammifèreInformation :>Tous les publics (dès 9 ans)> Sur inscription> Tarifs : Plein: 6,90 € et – 15 ans : 4,00 €> Lieu : Ciné MourguetMercredi 13 novembre à 14h15 | Projection : Marche avec les loups de Jean-Michel Bertrand (2019, 1h28)©Jean-Michel BertrandAprès avoir disparu pendant près de 80 ans et malgré les obstacles, les loups sont en train de retrouver leurs anciens territoires…Ce film raconte le grand mystère de la dispersion des loups: comment les jeunes loups quittent le territoire qui les a vus naître, et la façon dont ces aventuriers partent à la conquête de nouveaux territoires.En présence d’Emma Marinho (FNE Rhône), chargée de mission biodiversité – mammifèresInformation : >Tous les publics (dès 8 – 9 ans)> Sur inscription> Tarifs : Plein: 8,50 € et Réduit : 7,48 €> Lieu : Ciné RillieuxMercredi 20 novembre à 16h | Balade-atelier : Cohabiter avec le sauvage : le loup (1h15)©DREn 2022, un loup était retrouvé écrasé sur l’autoroute A43 aux portes de Lyon, à Saint Priest… Comment un loup peut-il se retrouver dans des milieux si urbanisés, dans ce qui semble si loin de son habitat naturel ? Quel est son mode de vie, et qu’est ce qu’il implique ? Et plus largement, qu’en est-il de notre cohabitation avec le monde sauvage ? Avec les loups, mais aussi avec les blaireaux, les castors…?Autant de questions que nous pourrons aborder lors de ce moment en nature, dans ce bel endroit de nature qu’est le Bois de Sermenaz.Animée par Césarine Trelcat, éducatrice Nature et Environnement (FNE Rhône)Information : >Tous les publics (dès 8 – 9 ans)> Sur inscription> Tarifs : libre> Lieu : transmis au moment de l’inscription, accessible en transports en commun (Bus TCL) >> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : cosmos culture & écologie
CConcert scientifique Immersons Comment votre oreille et votre cerveau perçoivent-ils les sons ? Comment localisez-vous une source sonore dans l’espace ? Comment entendrait-on avec une seule oreille ? Pour répondre à ces questions, le quintet OPHONIUS vous invite dans un espace sonore à trois dimensions au cours d’un spectacle mêlant musique, expériences, illustrations et phénomènes perceptifs. Entrez ainsi dans le monde de la perception sonore et découvrez comment sont perçus les sons par l’oreille humaine.Le Laboratoire Centre Lyonnais d’Acoustique – LabEx CeLyA – de l’Université de Lyon, en collaboration avec le théâtre Astrée de l’Université Lyon 1, organise un concert scientifique à l’attention des Lycéens de la Région Auvergne Rhône Alpes.Ce concert est donné grâce au soutien financier du LABEX CeLyA (ANR-10-LABX-0060) de l’Université de Lyon, dans le cadre du Plan France 2030 mis en place par l’État et géré par l’Agence Nationale de la Recherche (ANR) en collaboration avec le laboratoire LAUM, Le Mans Université,Adamson, Le Mans sonore.>> Pour en savoir plus, consultez le site du :LabEx CelyA
AArt & Science Expérience : Voyages aux confins de l’interdisciplinarité L’Institut Rhône-alpin des systèmes complexes – IXXI – en partenariat avec l’Institut d’Histoire des Représentations et des Idées dans les Modernités – IHRIM – et le département de philosophie de l’ENS de Lyon, vous invitent à découvrir, comprendre, expérimenter les processus de recherche-création en science et en art.Issu d’une rencontre entre une dizaine de chercheurs et autant d’artistes, le projet de recherche-création Art & Science Expérience est né de la volonté d’observer et rendre visible les processus de co-création qui rendent possibles une production interdisciplinaire. D’une première journée d’échanges ont émergé spontanément quatre sujets de recherche.Deux années de travaux conjoints ont abouti aux co-créations présentées dans l’exposition. Les interactions ont été observées avec des étudiants en philosophie de l’ENS de Lyon. Une démarche tout à la fois créative, sensible et réflexive que vous êtes invités à partager.>> Le programme du 5 novembre (ici) : À partir de 13h : accueil et ouverture de l’expositionDe 13h50 à 18h : journée d’études, restitution de l’expérimentation entre chercheurs et artistes.À partir de 19h : deux performances sur les projets Pensées en équation et Dynamiques.À l’issue des performances et du vernissage : cocktailL’exposition restera dans les locaux de l’ENS de Lyon jusqu’à fin février 2025, avant d’être présentée ailleurs.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :IHRIM
DDialogue et images autour de la création chorégraphique en Afrique Le Musée des Confluences a le plaisir de vous inviter à un dialogue inspirant autour de la création chorégraphique en Afrique, un événement qui promet d’enrichir votre perspective à travers des échanges et des images captivantes.La création chorégraphique africaine connaît un fort développement depuis une quinzaine d’années. Implantés sur le continent, chorégraphes et artistes promeuvent leur art à travers la création de spectacles, de festivals et de programmes de formation. Dans un dialogue rythmé par de nombreux extraits vidéos de spectacles créés ces dix dernières années en Afrique, l’anthropologue de la danse et productrice Anne Décoret-Ahiha et le chorégraphe togolais Kossivi Sénagbé Afiadegnigban livrent un éclairage sur l’actualité chorégraphique en Afrique, notamment les liens entre danse contemporaine, urbaine et traditionnelle.Intervenants :Anne Décoret-Ahiha, anthropologue de la danse ;Kossivi Sénagbé Afiadegnigban, chorégraphe.En partenariat avec : le Centre national de la danse – CND>> Plus d’informations sur le site du :MUSÉE DES CONFLUENCES
DDanser pour guérir, une histoire millénaire Le Musée des Confluences a le plaisir de vous inviter à « Danser pour guérir : une histoire millénaire », une immersion fascinante dans les traditions ancestrales où la danse se révèle être un puissant vecteur de guérison.Des épisodes inexpliqués « d’épidémies de danse », documentés au Moyen-Âge, aux danses endiablées de la Pizzica d’Italie du sud, censées guérir de la piqure de la tarentule, aux divers rituels animistes/ chamaniques présents sur toute la planète, le pouvoir de la danse sur le corps se retrouve dans toutes les cultures et sur tous les continents. Gérard Kurkdjian, spécialiste des musiques sacrées du monde, nous invite, en compagnie de ses invités, à une réflexion sur ces phénomènes à partir de certaines de leurs formes les plus emblématiques.>> Avec :Sara Colonna |danseuse et anthropologueVincent Zanetti | musicien et ethnomusicologueAnimée par Gérard Kurkdjian | auteur, musicien, conférencier >> Plus d’informations sur le site du :MUSÉE DES CONFLUENCES
LLe patrimoine hospitalier des HCL Médecine, architecture, sciences, arts… Depuis des siècles, l’hôpital apporte des soins à toutes et à tous, et contribue à façonner la ville et son paysage comme à développer les sciences.Dans le cadre du projet Réinventer la Chapelle, les Hospices civils de Lyon proposent de plonger dans huit siècles d’histoire dans et autour du Grand Hôtel-Dieu à travers des visites commentées. Menées par des guides conférencières professionnelles, elles s’appuient notamment sur les collections du Musée des HCL.>> Les visites :Mardi 29 octobre à 18h30 : Le Grand Hôtel-Dieu, haut-lieu de l’innovation médicale©DRLe Grand Hôtel-Dieu, principal hôpital de Lyon à partir de la Renaissance, a été un modèle hospitalier diffusé dans toute l’Europe et le théâtre de nombreuses innovations médicales à travers les siècles.Parcourez son histoire médicale faite de recherches et de créativité, et rencontrez les acteurs d’un projet humaniste au service des plus pauvres puis de la santé de tous.Durée : 1 heure / Tarifs : adulte 9,00 € – Moins de 26 ans, personnel HCL, RSA (justificatif de -6 mois) : 6,00 €. / RDV : Place de l’Hôpital, sur le parvis de la Chapelle – Lyon 2e >> Sur réservation Samedis 2 et 7 novembre à 10h : Le Grand Hôtel-Dieu et la Chapelle, entre arts et médecine©DRLe Grand Corps, les Quatre-Rangs, la façade et le grand dôme de Soufflot, le dôme de Pascalon… Du XVe au XIXe siècle, le Grand Hôtel-Dieu s’est développé à travers des architectures marquantes de l’histoire des soins et du paysage lyonnais.Dès le XVe siècle, le principal hôpital de Lyon fait partie d’une politique d’embellissement de la ville, et des nouveaux repères du pouvoir laïc émergent avec l’Hôtel de Ville, la loge du Change et l’hôpital de la Charité.Reconnu dans l’Europe entière pour son organisation remarquable, le Grand Hôtel-Dieu a été témoin de l’évolution hospitalière et des innovations médicales, chirurgicales et pharmaceutiques, depuis la Renaissance.La Chapelle de l’Hôtel-Dieu, construite au VIIe siècle avec l’hôpital des Quatre-Rangs, restaurée au XIXe siècle et lieu de baptême pour de nombreux enfants nés à l’Hôtel-Dieu, est progressivement tombée dans l’oubli. Depuis le début de sa restauration, entreprise en 2012 par les Hospices civils de Lyon, on redécouvre son architecture baroque, la richesse de ses tableaux et de ses sculptures, et l’intérêt du décor peint en trompe-l’œil qui recouvre l’intégralité de ses murs et de ses voûtes.Dans le Grand Hôtel-Dieu, « le corps peut guérir grâce aux soins prodigués et à la beauté de l’environnement ; l’âme du patient est enveloppée par une paix intérieure et spirituelle ; l’esprit s’ouvre à la recherche scientifique et à l’innovation architecturale » (Didier Repellin).Durée : 2 heures / Tarifs : adulte : 15,00 € – Moins de 26 ans, personnel HCL, RSA (justificatif de -6 mois) : 10,00 €. >> Sur réservation >> Pour plus d’information, rendez-vous sur la page : HCL – Le Musée
TTant de fleuves se démêlent sous un caillou Entre les plis du relief, les courants convergents et divergents de la Saône sont propices à penser à la rencontre. Cinq artistes provenant de rivages disparates se retrouvent sur la presqu’île au sein du post-diplôme art de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Lyon – ENSBA.Pendant une année, ils se sont invités à penser ensemble en s’impliquant dans l’écumage de leurs recherches respectives. Ils se sont attachés à suivre les lisières troubles émergeant de la collision de contradictions qui enveloppe certaines vérités. Sensible à ces discordances fécondes d’une réalité qui se partage, il s’agit alors de reconnaître que chacun n’existe pas seul dans un vide stérile. Et ainsi, de garder les pieds ancrés dans un espace fertile que la décrue dévoilera provisoirement à nouveau.Les cinq artistes de la promotion 2023-2024 du Post-diplôme Art présentent sous la forme d’installations, les pièces inédites développées cette année.Le Post-diplôme art consiste en une année de formation de haut niveau pour cinq artistes, de toute nationalité, aux parcours singuliers dans le domaine des arts visuels. Il fait partie des dispositifs d’accompagnement des artistes portés par l’Ensba Lyon depuis 25 ans.>> Les cinq artistes :Tin Ayala examine les réponses post-coloniales andines, se basant sur le Cholo (mot d’origine Quechua utilisée pendant la colonie pour catégoriser les descendantes d’indigène et espagnol) comme identité frontalière capable de resignifier les notions coloniales de race.Parisa Babaei interroge la manière dont les images et les textes nous traversent par le langage, les rapports sociaux, politiques et culturels. Son travail de recherche prend comme point de départ le langage, les techniques pour lui faire porter des visions du monde et les formes plastiques qui les incarnent souvent de façon invisible. Elle s’intéresse plus particulièrement aux arguments fallacieux, aux adages, aux slogans et à la langue technique.Emma Ben Aziza : frôlant l’approche documentaire, l’écriture poétique ou fictionnelle, elle s’intéresse au potentiel transformateur du récit. En explorant les enjeux botaniques en prise avec la fabrication de l’Histoire, elle travaille à des modalités narratives en relation à ce qui est détruit de certaines cultures par l’impérialisme occidental. Les petites histoires font la grande, et sont donc les compagnes de l’Histoire collective.Maéva Conderolle propose de considérer le cacao comme un contenant d’archives sensorielles afin d’explorer les différentes histoires que cette plante véhicule. Intéressée par la nature relationnelle des récipients de stockage historique du cacao, elle explore ainsi la résonance des gestes initiés par et autour d’une même plante.Simon Gabourg : en réinterprétant le réel animal et végétal à travers le prisme des matériaux, il examine la diversité des mécanismes de mondialisation, inscrits dans des objets techniques et des matériaux industriels. Observer conjointement l’essor des technologies et des entreprises impérialistes et coloniales révèlent des connexions insoupçonnées entre les époques passées, le présent et les horizons futurs.>> Pour plus d’information, rendez-vous sur la page : ENSBA©Tin Ayala