«« La transition doit être basée sur la sobriété, le juste besoin ! » | Visages de la science Diana Martin de Argenta annonce : « la transition n’a pas encore eu lieu ». Au micro des cœurs audacieux, l’ingénieure et enseignante au département génie mécanique de l’INSA Lyon pose les choses : pour exister, la transition devrait être basée sur la sobriété et sur l’indice de bonheur : « moins d’énergie, moins de puissance, et plus de temps pour faire les choses ».Concevoir au juste besoin« Nous sommes dans une société qui gère les impacts environnementaux en aval de la conception produit. L’idée de l’écoconception est de rendre les ingénieurs conscients de ces mêmes impacts, en amont, avant même qu’ils conçoivent le produit », explique l’enseignante. À travers ses cours d’écoconception et d’éthique de l’ingénieur, elle amène ses élèves-ingénieurs à s’interroger sur le cycle de vie d’un produit : coût écologique de l’extraction et de l’énergie nécessaire à la production d’un produit ; questionnement autour du besoin réel d’un produit ; ses impacts sociaux une fois introduit dans la société ; puis son traitement en tant que déchet.Une augmentation de l’énergieDiana Martin de Argenta est formelle : dans une configuration de croissance, les énergies vertes ne seront pas synonymes de transition, puisqu’elles ne font que s’ajouter à celles que l’on utilise aujourd’hui. « Nous sommes dans une configuration qui présente une augmentation de l’énergie chaque année ; ce qui est normal puisqu’on est dans une dynamique de croissance, et que les matériaux étant de plus en plus dispersés, ils demandent de plus en plus d’énergie à l’extraction (…) On est fatalement dans une augmentation permanente du besoin en énergie (…) Je constate qu’il n’y a pas de transition. »Indice de bonheur et PIBIl faut baser le juste besoin sur la sobriété et le suffisant : « de quoi a-t-on réellement besoin ? », interroge-t-elle. « On peut aussi regarder l’indice de bonheur ; certains pays à partir d’un certain PIB, car celui-ci participe à l’indice de bonheur, le bonheur n’augmente pas. Ainsi, l’indice de bonheur du Costa Rica est équivalent à celui des États-Unis… » Diana Martin de Argenta, enseignante au département génie mécanique de l’INSA Lyon, était l’invitée du podcast « Les cœurs audacieux », un contenu audio proposé par l’INSA Lyon (Saison 2 – Épisode 5). ÉCOUTER L’ÉPISODE
DDeux jeux pédagogiques Made in AURA pour sensibiliser à la transition énergétique SuperGrid Institute et plusieurs entités éducatives du territoire Auvergne-Rhône-Alpes se sont regroupés pourdévelopper deux activités pédagogiques afin de sensibiliser les jeunes élèves, ainsi que les travailleurs en reconversion professionnelle, à la transition énergétique et aux métiers de demain. Ces outils sont maintenant à disposition des Académies et des organismes de formation professionnelle.Ces deux activités ont été développées en premier lieu par SuperGrid Institute pour ses participations à la Fêtede la Science. Elles ont été mises à niveau au sein du consortium et grâce au soutien de La Région Auvergne–Rhône–Alpes et de l’État à travers les Directions régionales de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités(DREETS). Le projet a duré deux ans et vient d’aboutir.SURVIVAL GAMEUn jeu de survie durant lequel les joueurs ont 25 minutes pour sauver la planète du réchauffement climatique ! Ils intègrent peu à peu les énergies renouvelables dans le réseau en résolvant une série d’énigmes ludiques permettant de mieux comprendre le pilotage d’un réseau et le mix énergétique.Le Survival Game sera installé à l’Institut Gaston Berger où les étudiants, formés à son animation, pourront réaliser des actions de sensibilisation fréquentes aux métiers en tension et liés à la transition énergétique.LA BELLE ÉQUIPEUn jeu de plateau collaboratif qui met en lumière la palette de métiers qui s’offrent aux élèves au sein de la transition énergétique et la diversité des parcours de formation. Dans le contexte d’une entreprise industrielle, les joueurs endossent chacun un rôle et travaillent ensemble pour construire un disjoncteur – un équipement indispensablepour la protection du réseau électrique.Des enseignants et encadrants de l’Académie de Lyon et de Grenoble ont été formés à l’animation du jeu LaBelle Équipe pour l’utiliser avec leurs élèves et les aider dans leur travail orientation. >> Le jeu est téléchargeable en ligne pour être utilisé par le plus grand nombre : La Belle ÉquipeDes organismes de formation continue – Missions locales, Pôle Emploi – ont également été formés afin que le jeu « La Belle Équipe » puisse aussi bénéficier aux personnes en reconversion professionnelle ou en recherche d’emploi.Projet financé dans le cadre du projet CPER « Transition zéro carbone : sensibiliser et informer sur les métiers en transformation » (Contrat de Plan État– Région 2015–2020). Les membres du consortium sont : SuperGrid Institute (porteur du projet), le Campus des Métiers et des Qualifications Smart Energy Systems, les académies de Grenoble et de Lyon, Tenerrdis et l’Institut Gaston Berger (INSA Lyon).En savoir plus :SUPERGRID INSTITUTEPPour aller plus loinPlongée dans le réseau électrique du futur , visite virtuelle de SuperGrid Institute.Fête de la science 2019 / ©Vincent Noclin – Université de Lyon
SSolaire, éolien … Pourquoi les énergies renouvelables font-elles débat ? Le recours massif aux énergies vertes est une stratégie sur laquelle mise désormais un grand nombre de pays pour réduire au plus vite leurs émissions de gaz à effet de serre. Devant l’impérieuse nécessité de décarboner l’économie mondiale, n’est-il pas pour autant illusoire d’espérer faire reposer la transition écologique sur les seules énergies renouvelables ?6 janvier 2021Entretien avec Olivier Labussière, géographe, chercheur rattaché au laboratoire Pacte (CNRS, Université Grenoble-Alpes), enregistré dans le cadre du 7e numéro de Pop’Sciences Mag : ÉNERGIES. UNE TRANSITION A PETITS PASPour aller plus loin, découvrez l’article de Grégory Fléchet :
SSobriété énergétique. Tout ralentir pour accélérer la transition ? | Pop’Sciences Forum La meilleure énergie est celle que nous ne consommons pas. La sobriété énergétique relève de cette « retenue » que nous devrions adopter, en objection à la surconsommation d’énergie – à l’ébriété – dont nous faisons preuve aujourd’hui. Comment y parvenir ?Enregistrement audio du webinaire du 24-11-2020, organisé dans le cadre du Pop’Sciences ForumCette sobriété énergétique recouvre plusieurs scénarios, qui ne visent pas tous les mêmes fins ni ne nécessitent les mêmes moyens. Entre d’un côté le ralentissement général de nos activités, et de l’autre l’optimisation de la performance énergétique du système économique en place. Comment opérer une transition énergétique sous l’angle de la sobriété sans se heurter trop brutalement à des pratiques quotidiennes, sociales et économiques très ancrées ?InvitésNathalie Ortar , anthropologue, directrice de recherche au Laboratoire Aménagement Économie des Transports à l’ENTPE.Natacha Gondran, enseignante-chercheuse en sciences et génie de l’environnement au sein de Mines Saint-Étienne et membre du Laboratoire Environnement ville sociétéMarc Jedliczka , fondateur de NégaWatt et directeur général de l’association HespulAnimation : Raphaël Bourgois , rédacteur en chef d’A.O.C
ÉÉnergie et transition. De quoi parle-t-on ? Le principe physique initial définit l’énergie comme la « capacité d’un corps ou d’un système à produire du travail mécanique ou son équivalent »1. C’est-à-dire que nous exploitons autant l’énergie pour actionner les corps, que pour transformer notre environnement, ou changer la vitesse, la forme, ou encore la température des matières.Cet article est extrait du Pop’Sciences Mag #7 : Énergie. Une transition à petits pasSamuel Belaud | 24 novembre 2020L’énergie que nous exploitons est soit issue de la maîtrise d’éléments naturels (le vent, l’eau, le soleil), soit elle nous est fournie par un carburant issu de l’exploitation de ressources fossiles (gaz, pétrole, charbon…) ou d’origine nucléaire. Depuis la première révolution industrielle et jusqu’à l’automatisation et la numérisation de nos systèmes productifs nous avons « optimisé » notre capacité de travail et notre productivité comme jamais et toute l’humanité est désormais dépendante d’un apport en énergie toujours croissant. Elle est devenue le principe actif et fondamental de nos sociétés post-modernes.L’énergie que nous exploitons est soit issue de la maîtrise d’éléments naturels (le vent, l’eau, le soleil), soit elle nous est fournie par un carburant issu de l’exploitation de ressources fossiles (gaz, pétrole, charbon…) ou d’origine nucléaire. Depuis la première révolution industrielle et jusqu’à l’automatisation et la numérisation de nos systèmes productifs nous avons « optimisé » notre capacité de travail et notre productivité comme jamais et toute l’humanité est désormais dépendante d’un apport en énergie toujours croissant. Elle est devenue le principe actif et fondamental de nos sociétés post-modernes.Pourtant, la production, le transport et la consommation d’énergie ont des impacts environnementaux et climatiques si néfastes que la pierre angulaire de la transition écologique, à laquelle se sont engagés les États participants à la COP-21 (2015), consiste en une reconversion massive du modèle énergétique mondial.Pour y parvenir, les outils de la transition énergétique sont nombreux (voir ci-dessus). Cela passe en particulier par le développement de sources renouvelables et/ou moins polluantes : hydroélectrique, solaire, éolien, biomasse… Mais, bien qu’elles se développent, ces énergies « décarbonées » ne parviennent pas encore à subvenir à l’ensemble des besoins de la planète. Loin de là : elles ne pèsent en 2019 que 11,5% de la production mondiale d’énergie. La transition n’aboutira donc pas par la seule inversion du mix-énergétique mondial. Pour y arriver, il faut également agir sur l’efficacité énergétique des bâtiments, la mobilité durable, la fiscalité ou encore sur la quantité d’énergie que nous consommons.Reste à déterminer quelles seront les conséquences sociales, environnementales, politiques économiques d’une telle transformation. Découvrez le dernier numéro de Pop’Sciences Mag dédié à la transition énergétique * La tonne d’équivalent pétrole (tep) représente la quantité d’énergie contenue dans une tonne de pétrole brut, soit 41,868 gigajoules. Cette unité est utilisée pour exprimer dans une unité commune la valeur énergétique des diverses sources d’énergie. (INSEE)1 > Définition du Trésor de la langue française informatisé (CNRTL)
[[Pop’Sciences Forum] Énergie. Une transition à petits pas Du 24 novembre au 1er décembre 2020, Pop’Sciences vous invite à comprendre les conditions de faisabilité de la transition énergétique.Comment transformer en profondeur nos façons de produire, d’acheminer et de consommer l’énergie ? Quelles innovations sociales et scientifiques permettraient d’accélérer le mouvement ? Pourquoi les moyens de sa mise en œuvre ne font pas consensus ? Décryptez ces problématiques par le regard de différentes disciplines et expertises scientifiques.Une programmation de culture scientifique, gratuite, ouverte à tous et à vivre à 100% en ligne.🔀DÉBAT📅Mardi 24 NOVEMBRE 2020 | 18H00 Sobriété énergétique. Faut-il tout ralentir pour accélérer la transition ?Comment opérer une transition énergétique sous l’angle de la sobriété sans se heurter trop brutalement à des pratiques quotidiennes, sociales et économiques très ancrées ?>>> Accédez à la réunionFacebookInvitésNathalie Ortar, anthropologue, directrice de recherche au Laboratoire Aménagement Économie des Transports à l’ENTPE.Natacha Gondran, enseignante-chercheuse en sciences et génie de l’environnement au sein de Mines Saint-Étienne et membre du Laboratoire Environnement ville société Marc Jedliczka, fondateur de NégaWatt et directeur général de l’association HespulAnimation : Raphaël Bourgois , rédacteur en chef d’A.O.CInscrivez-vous 💬 FOIRE AUX QUESTIONS📅Mardi 1er DÉCEMBRE 2020 | 18H00 Télétravail, 5G, Netflix … Notre empreinte numérique est-elle soutenable ?Rendez-vous pour 1h30 d’une conversations sous la forme d’une « foire aux questions scientifiques » autour de l’impact des activités numérique sur la consommation d’énergie et leur empreinte écologique.InvitésHervé Rivano, Professeur des Universités en informatique / INSA Lyon / Laboratoire CITI / École Urbaine de LyonJean-François Trégouët, Maître de conférences en automatique / INSA Lyon / Laboratoire AmpèreNicolas Stouls, Maître de conférences en informatique / INSA Lyon / Laboratoire CITIPosez vos questions ! Foire aux questions - Numérique et transition énergétique Votre nom ou pseudo * Votre question * Votre adresse e-mail * Pour être alerté de la réponse apportée Lien de modification de l'entrée RGPD Lien d'export de l'entrée RGPD EnvoyerCONTACTSOrganisation, programmation : samuel.belaud@universite-lyon.frCommunication, partenariats : cecile.rondeau@universite-lyon.frProgrammation réalisée en collaboration avec : Ils soutiennent la réalisation de ce programme :
SSobriété énergétique. Faut-il tout ralentir pour accélérer la transition ? DÉBAT / La meilleure énergie est celle que nous ne consommons pas. La sobriété énergétique relève de cette « retenue » que nous devrions adopter, en objection à la surconsommation d’énergie – à l’ébriété – dont nous faisons preuve aujourd’hui. Comment y parvenir ?©Nareeta MartinCette sobriété énergétique recouvre plusieurs scénarios, qui ne visent pas tous les mêmes fins ni ne nécessitent les mêmes moyens. Entre d’un côté le ralentissement général de nos activités, et de l’autre l’optimisation de la performance énergétique du système économique en place. Comment opérer une transition énergétique sous l’angle de la sobriété sans se heurter trop brutalement à des pratiques quotidiennes, sociales et économiques très ancrées ?InvitésNathalie Ortar , anthropologue, directrice de recherche au Laboratoire Aménagement Économie des Transports à l’ENTPE.Natacha Gondran, enseignante-chercheuse en sciences et génie de l’environnement au sein de Mines Saint-Étienne et membre du Laboratoire Environnement ville sociétéMarc Jedliczka , fondateur de NégaWatt et directeur général de l’association HespulAnimation : Raphaël Bourgois , rédacteur en chef d’A.O.CSuivez l’événement en direct sur votre mobile ou votre PC En cliquant sur ce lien Inscrivez-vous pour être alertés du début de l’événementPop'Sciences Forum - sobriété énergétique - 24.11.2020 Prénom * Nom * Email Je souhaite recevoir par email les informations relatives à l'événement et aux activités de Pop'Sciences Oui Non Les informations recueillies sur ce formulaire sont enregistrées dans un fichier informatisé par l'Université pour l'envoi de son magazine Pop'Sciences Mag par voie postale et - sous réserve d'acceptation - pour la transmission d'informations non-commerciales par e-mail via l'infolettre bimensuelle Pop'Sciences. Les données collectées ne seront communiquées à aucun autre destinataire que la seule Direction Culture Sciences et Société de l'Université de Lyon. Vous pouvez accéder aux données vous concernant, les rectifier, demander leur effacement ou exercer votre droit à la limitation du traitement de vos données. Vous pouvez également exercer votre droit à la portabilité de vos données. Consultez le site cnil.fr pour plus d’informations sur vos droits. Lien de modification de l'entrée RGPD Lien d'export de l'entrée RGPD
ÉÉnergie. Une transition à petits pas Du 24 novembre au 1er décembre 2020, Pop’Sciences vous invite à comprendre les conditions de faisabilité de la transition énergétique.Comment transformer en profondeur nos façons de produire, d’acheminer et de consommer l’énergie ? Quelles innovations sociales et scientifiques permettraient d’accélérer le mouvement ? Pourquoi les moyens de sa mise en œuvre ne font pas consensus ? Décryptez ces problématiques par le regard de différentes disciplines et expertises scientifiques.Une programmation de culture scientifique, gratuite, ouverte à tous et à vivre à 100% en ligne. 💬 FOIRE AUX QUESTIONS / DISCUSSION EN LIGNE📅Mardi 1er DÉCEMBRE 2020 | 18H00 Télétravail, 5G, Netflix … Notre empreinte numérique est-elle soutenable ?Rendez-vous pour une « foire aux questions scientifiques » d’1h30. Un direct commenté par 3 chercheurs autour de l’impact des activités numérique sur la consommation d’énergies et de leur rôle dans la transition écologique.InvitésHervé Rivano, Professeur des Universités en informatique / INSA Lyon / Laboratoire CITI / École Urbaine de LyonJean-François Trégouët, Maître de conférences en automatique / INSA Lyon / Laboratoire AmpèreNicolas Stouls, Maître de conférences en informatique / INSA Lyon / Laboratoire CITIRETROUVEZ LES QUESTIONS ET LES REPONSES APPORTEES 🗣️ DÉBAT📅Mardi 24 NOVEMBRE 2020 | 18H00 Sobriété énergétique. Faut-il tout ralentir pour accélérer la transition ?La meilleure énergie est celle que nous ne consommons pas. La sobriété énergétique relève de cette « retenue » que nous devrions adopter, en objection à la surconsommation d’énergie – à l’ébriété – dont nous faisons preuve aujourd’hui. Comment y parvenir ?Retrouvez l’enregistrement audio du webinaire :InvitésNathalie Ortar, anthropologue, directrice de recherche au Laboratoire Aménagement Économie des Transports à l’ENTPE.Natacha Gondran, enseignante-chercheuse en sciences et génie de l’environnement au sein de Mines Saint-Étienne et membre du Laboratoire Environnement ville société Marc Jedliczka, fondateur de NégaWatt et directeur général de l’association HespulAnimation : Raphaël Bourgois , rédacteur en chef d’A.O.CCONTACTSOrganisation, programmation : samuel.belaud@universite-lyon.frCommunication, partenariats : cecile.rondeau@universite-lyon.frProgrammation réalisée en collaboration avec : Ils soutiennent la réalisation de ce programme :
LLes voleurs de feu : qui a peur de l’énergie solaire ? En décembre, rendez-vous aux derniers événements de notre programmation 2019 ! Envie de faire un bond en avant vers la transition écologique l’an prochain ? Finissez l’année avec 3 projections dédiées pour vous inspirer des solutions et des bonnes résolutions.3 associations vous invitent à 3 soirées pour vous projeter vers la transition :Jeudi 5 décembre : Une projection animée par On The Green Road au coeur de la question numérique : engagée pour la prolongation de durée de vie des ordinateurs, la start-up M² nous mènera en vidéo au cœur de ces appareils, partageant avec I-Buycott et l’Atelier Soudé un diagnostic sans concession sur l’obsolescence programmé, et les moyens de l’éviter, par nos actions.Jeudi 12 décembre : Une projection d’un extrait d’enquête sur Cash investigation suivie d’un échange avec l’association Générations Futures Lyon et un agriculteur bio sur les dangers de cet herbicide pour la santé et sur les alternatives proposées par l’INRA.Jeudi 19 décembre : Partout dans le monde, l’énergie solaire se développe de manière spectaculaire… Découvrez et comprenez cette énergie avec l’association Toits en Transition. Projection du film documentaire Les voleurs de feu : qui a peur de l’énergie solaire ? de Brigitte ChevetLa Médiathèque sera ouverte jusqu’à 19h pour vous permettre de découvrir notre sélection thématique sur l’environnement, l’économie et la consommation.Toute la programmation de la Maison de l’Environnement et les activités de nos associations membres (rubrique Agenda) :Maison de l’environnement